"Nous devrions toujours nous attacher à rendre notre entourage heureux, mais encore faut-il pour cela être heureux soi-même. Et là commence une longue quête d'introspection. En effet, l'auto-analyse est indispensable à celui et celle qui veut évoluer. Si une personne ne peut réfléchir objectivement (et sans culpabilité) sur ses erreurs et
leurs effets sur son entourage, et bien cette dernière ne peut s'épanouir, et entraîner positivement son entourage dans cette démarche. Pour cela, il est important de connaître les mécanismes qui nous entraînent (et les autres avec) dans la souffrance. Nous avons tous le droit d'être heureux, quelque soient nos erreurs et nos fautes, passées ou présentes. Mais pour cela, il nous faut aller en nous-même, et en devenir le maître !"
Susceptibilité
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Description :
Je me vexe facilement à la moindre réflexion, même si cette dernière m'est profitable.
En situation :
Les personnes qui nous entourent (nos proches) sont bien souvent le miroir de nos imperfections. Ces dernières traduisent par leurs mots et leur attitude à notre égard ce que nous avons besoins d'entendre pour évoluer. Même s'il faut parfois trier ce que l'on nous dit, cela reste néanmoins un puissant indicateur de notre état d'être. En sachant écouter,
et ensuite nous corriger, nous ne pouvons que nous améliorer et grandir.
D'autre part, il n'est pas agréable d'être si sensible à la moindre réflexion. Seul celui qui domine ses émotions, et reste calme en toute circonstance, peut aspirer à une certaine tranquillité dans sa vie.
La plupart des personnes réagissent fortement à la moindre attaque, d'une manière très virulente et émotionnelle. Il est pourtant bien plus élégant de garder toute sa maîtrise, et surtout bien plus économique en terme d'énergie. Il est ainsi important de toujours garder son équilibre en toute circonstance, mais pour cela il me faut m'engager dans
une démarche (spirituelle, Yoga, Taï Chi, etc.) qui me permettra d'atteindre une certaine plénitude... auquel cas mes émotions prendront la plupart du temps le dessus. Nous avons beaucoup de "faux maîtres" en nous-même qui nous dominent. En ne laissant plus mes émotions me gouverner, je garde l'équilibre qui est nécessaire à mon épanouissement.
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