McDonald's, une catastrophe pour la santé - 01/01/2015
10 raisons pour lesquelles vous ne mangerez plus jamais chez McDonald’s !
Article de trueactivist.com : (Traduction : Fabio Coelho pour Quenel+)
Vous avez faim ? Lisez-donc cet article (qui nous vient des Etats-Unis) avant de vous rendre dans un établissement de restauration rapide et de commander votre dose habituelle de produits chimiques et de médicaments. Saviez-vous qu’à chaque bouchée que vous mâchez, c’est probablement un cafard ou des plumes de canard qui sont broyés
par vos dents ? Voici quelques-uns des additifs les plus dégoûtants…
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Le sulfate d’ammonium...
Ce produit chimique est extrêmement efficace pour produire massivement du pain. Malheureusement, c’est également un fertilisant hors pair et un insecticide de premier choix. Voici quelques informations supplémentaires sur le sulfate d’ammonium.
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L’huile de silicone
Les McNuggets au poulet sont remplis de diméthylpolysiloxane, une huile de silicone souvent employée dans la fabrication de lentilles (les verres de contact) et d’autres matériaux médicaux.
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La cystéine-L
Les établissements de restauration rapide utilisent cette substance pour donner du goût à leur viande et ramollir leur pain et leurs pâtisseries. Il s’agit d’un acide aminé synthétisé à base de cheveux humains ou de plumes de canard.
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Le BHQT (E319)
On retrouve cet additif dans pas moins de 18 plats proposés au menu chez McDonald’s. C’est un additif potentiellement mortel, mais pas de panique, aux États-Unis, la FDA (ministère de la Santé et de l’Agro-alimentaire) affirme que ce dernier est généralement sans danger (hum...).
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Le propylène glycol
Le propylène glycol est un composé chimique que l’on retrouve dans l’anti-gel, dans les cigarettes électroniques et… vous l’aurez deviné, dans la restauration rapide !
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Des médicaments sous ordonnance
En analysant les plumes de volaille utilisées pour la production de viande chez McDonald’s, l’Université Johns Hopkins a découvert des choses très intéressantes concernant la volaille élevée en usine. Vous trouviez que le scandale Pink slime chez McDonald’s était quelque chose de honteux ?
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Et bien sachez que des antidépresseurs et d’autres médicaments sous ordonnance sont ajoutés à la nourriture de ces poulets avant que ces derniers ne deviennent de la « volaille » destinée à la restauration rapide. C’est exact, les sandwichs McChicken et les McNuggets proviennent de poulets qui ont suivi un traitement rigoureux à base de médicaments
sous prescription, sur ordonnance libre, et même de médicaments interdits.
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Le diméthylpolysiloxane (E900)
Vous en trouverez dans la plupart des aliments frits qui figurent dans les menus de restauration rapide, mais également dans le silly putty, les lentilles de contact, le calfeutrage, le shampoing et l’après-shampoing, les produits cosmétiques, le vernis, les revêtements de toiture résistants à la chaleur, et la liste est encore longue.
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L’acide carminique
Produit par les coléoptères, l’acide carminique est utilisé pour teindre la nourriture, tout particulièrement la viande, afin qu’elle devienne rouge.
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La cellulose
Ce composé organique, produit à base de pâte de bois, est présent dans presque tous les éléments des menus habituels de restauration rapide.
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Le dioxyde de silicone
Ce sable industriel est utilisé dans le Wendy’s chili afin d’empêcher les aliments de se coller les uns aux autres. A la lecture de cet article, aucun doute que vous aurez dorénavant davantage envie de cuisiner vous-même ce que vous allez manger.
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Mon avis : (C.M.)
Que cela soit McDonald's ou tout autre fast food, cette alimentation est une réelle catastrophe pour la santé publique. La qualité des ingrédients est si pauvre et trafiquée, quelle ne provoque que maladies (cardio-vasculaires, obésité, cancers...), tout comme d'ailleurs - dans une bonne proportion - l'alimentation industrielle que l'on trouve dans
la grande distribution. Le nombre d'études à ce sujets sont éloquentes, et je pense en particulier à cette vidéo ici. Il est toujours possible de minimiser tout cela, mais je pense qu'accepter d'ouvrir les yeux, c'est proposer un monde meilleur pour
soi, ses proches, et par extension, participer à l'élévation générale de cette humanité empêtrée dans sa souffrance. Cette souffrance étant provoquée en grande partie par l'alimentation, que cela soit d'un point de vue psychique ou physique.
De la même façon, je pense que devenir végétarien ou végétalien devrait être un devoir moral. Peut-on sincèrement voir sa viande ou son poisson dans son assiette en ignorant indéfiniment la très grande souffrance animale qui se cache derrière ? Je sais qu'il n'est pas si facile de changer ses habitudes ou ses goûts, mais je pense qu'il est heureux
et honorable de bien vouloir gratter la surface des choses, et de se conduire dignement et respectueusement dans son existence, plutôt que de profiter encore et encore à ces industries cruelles et sans conscience. Et l'analogie entre la salade qui souffre et une vache me paraît bien ridicule. Pour cela, chacun devrait aller avec sa salade dans un abattoir pour en comprendre toute la différence. Si l'on veut que le monde change, ayons le courage de changer nous-même.
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