Allergies et traitements naturels ! - 15/07/2012
communiqué
du site avogel.ca :
Ne
laissez pas les allergies vous envahir...
(par
Kayla Campbell)
Flairez-vous
l’arrivée du printemps derrière un rideau de larmes, une boîte de papiers-mouchoirs scotchée à la main et un infâme magma tombant goutte à goutte de ce qui reste de votre nez ? Il est d’autant plus cruel de voir tant de gens condamnés à souffrir ainsi dès les premiers rayons du soleil d’avril. Sans oublier tous les infortunés de ce monde, dont le calvaire dure douze mois par année, qui nasillent et éternuent en permanence, parfois sans même savoir à quoi ils réagissent.
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Si vous
vous éveillez chaque matin avec le nez qui pique, les yeux irrités ou l’arrière-gorge bloquée par des sécrétions, bienvenue dans notre club sélect.
Une seule
question : pourquoi ?
Y a-t-il
une explication à cette misère qui semble éternelle ? Les personnes affligées d’allergies bien caractérisées savent parfaitement à quoi s’en tenir. Si elles croquent dans une arachide, se font piquer par une abeille ou entrent en contact avec une certaine substance toxique, elles réagissent de manière immédiate… et dramatique. En pareil cas, l’organisme est tout simplement incapable de tolérer la substance en cause, au point où ses fonctions vitales s’en trouvent menacées.
Certaines
réactions à des allergènes spécifiques, par exemple le pollen, sont également assez évidentes. Par bonheur, elles se produisent seulement à une période précise de l’année, provoquant des symptômes bien connus et exécrables, communément regroupés sous la rubrique « rhume des foins ».
Il est
par contre plus difficile de circonscrire ce que l’on appelle les « intolérances ». Certains aliments ou substances chimiques ne causent pas une descente immédiate dans ces problèmes, mais l’organisme n’arrive jamais à les neutraliser parfaitement. Graduellement les symptômes s’accumulent et nuisent au bon état de santé général. Souvent il s’agit de symptômes d’ordre digestif : ballonnements, inconfort abdominal, constipation ou diarrhée.
Il n’est
pas rare que les muqueuses s’en mêlent, la présence constante de sécrétions témoignant avec éloquence du fait que tout ne va pas pour le mieux. Cela est d’autant plus vrai dans le cas de l’intolérance aux produits laitiers, car ces derniers augmentent grandement la production de mucus.
La délicate
paroi des voies nasales est particulièrement sujette aux irritations. Les voies nasales sont un filtre qui nous protège des éléments nocifs présents dans l’air que nous respirons. De minuscules poils (d’accord, pas toujours si minuscules selon l’âge et le sexe, mais c’est un autre débat !) emprisonnent les particules qui ne doivent pas pénétrer dans l’appareil respiratoire; les sécrétions servent ensuite à les « noyer » puis à les expulser.
Lorsque
les muqueuses deviennent enflammées et irritées, on se met à réagir à toutes sortes d’éléments qui en d’autres circonstances nous auraient laissés de glace : parfums, produits d’entretien, poils d’animaux, etc.
Voilà
qui explique pourquoi celui ou celle qui souffre sans le savoir d’une intolérance aux produits laitiers sera voué à avoir des picotements dans les yeux et le nez bloqué (ou au contraire dégoulinant), à éternuer sans arrêt et à toujours se sentir un peu à côté de ses pompes !
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Vous avez des cercles sombres autour des yeux, même si vous dormez suffisamment ?
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Vous vous sentez bouffi et attrapez facilement le rhume ?
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Votre épiderme est très réactif, la moindre provocation se traduisant par des éruptions ressemblant à des boutons de chaleur ?
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Vous avez constamment mal à la gorge ou vous toussez légèrement, ou votre respiration est sifflante comme si vous faisiez de l'asthme ?
Les réactions
cutanées que l’on observe sont souvent causées par le système immunitaire assiégé, qui produit de grandes quantités d’une substance chimique du nom d’histamine. La peau devient alors rouge et couverte de petites bosses qui démangent, comme si vous aviez frôlé un bosquet d’orties. Cette réaction est encore plus intense chez les personnes soumises à un stress.
Pour
améliorer les choses, il faut donc :
donner
un répit à vos muqueuses; renforcer votre système immunitaire; réduire la quantité d’histamine en circulation dans votre organisme.
Au banc
des accusés :
Pour
alléger un peu la tâche de votre système immunitaire et de vos muqueuses, essayez de mettre la pédale douce sur les produits suivants, à défaut de les éviter totalement :
> Produits laitiers.
> Caféine.
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Colorants et arômes artificiels, et édulcorants artificiels.
Réduisez
votre exposition à la fumée. Evitez les atmosphères enfumées et recherchez activement les espaces où la cigarette est interdite. Ne vous aspergez pas non plus de parfum !
Examinez
votre arsenal de produits de nettoyage : utilisez-vous du poli à meubles en aérosol ? Quelle quantité de nettoyant pour la salle de bains se rend jusqu’à vos narines ? Êtes-vous adepte des rafraîchisseurs d’air bourrés de produits chimiques ? Les boutiques de produits naturels vendent d’excellents vaporisateurs faits à partir d’huiles essentielles; il n’y a donc aucune raison pour que vous soyez obligé de choisir entre deux maux – subir un malaise permanent ou endurer des odeurs désagréables.
L’échinacée aide le système immunitaire à fonctionner plus efficacement. Si le vôtre est mal en point, réagissant à tout ce qui bouge et provoquant un débordement de fluides corporels en même temps que la dépendance aux papiers-mouchoirs dont il était question au début de cet article, il se peut que quelques mois d’utilisation d’une teinture de la
plante fraîche vous apportent un réel soulagement.
L’ortie est extrêmement bénéfique, en particulier si votre niveau d’histamine est élevé, ce qui se manifeste par une peau sensible et de fréquents symptômes de type « boutons de chaleur ». L’ortie réduit les niveaux d’histamine et a un effet tonique sur le sang.
La
vitamine C est un autre bon antihistaminique naturel et dépourvu des effets indésirables des médicaments antihistaminiques classiques. Prenez une faible dose (100 à 200 mg) de vitamine C régulièrement durant la journée, en particulier si vous prévoyez être exposé à des polluants tels que la fumée ou les gaz d’échappement,
ou si vous savez que vous serez en présence de plantes ou d'animaux qui habituellement vous indisposent.
Si vous
éprouvez des picotements ou de l’irritation dans les yeux à cause du pollen et de polluants atmosphériques, l’euphraise pourrait bien vous être d’un grand secours. Prise par voie interne, elle pourra aider à réduire l’inflammation des muqueuses oculaires et à assécher le flot
incessant de vos larmes.
Une teinture
de plantes tropicales incluant notamment le luffa convient aux victimes du rhume des foins, qu’ils soient jeunes ou moins jeunes, qu’ils prennent ou non d’autres médicaments. Il s’agit d’une substance
absolument sans danger, qui peut être utilisée à court ou à long terme. La teinture est la forme à privilégier pour une action très rapide.
Pourquoi
opter pour le luffa ? Tout simplement parce qu’il gomme les symptômes les plus répandus :
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Nez qui coule trop ou pas du tout (ce qui, entre nous, n’est guère mieux!).
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Yeux qui piquent et larmoient.
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Congestion bronchique.
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Irritation de la gorge.
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Eternuements et rougeurs cutanées.
Et rassurez-vous,
vous n’éprouverez aucun effet secondaire comme la somnolence et vos facultés demeureront intactes, que vous soyez au volant, à l’étude ou en pleine compétition sportive. Si votre intolérance aux poils d’animaux vous empêche de mettre le pied chez vos proches ou de pratiquer certaines activités sportives, ce remède pourrait bien vous métamorphoser complètement (Evidemment, si vous trouvez vos symptômes fort commodes pour éviter certaines personnes, faites comme si vous n’avez rien lu...).
Essayez
un vaporisateur nasal naturel qui hydratera la muqueuse nasale et mettra sans tarder un frein aux symptômes de la rhinite allergique. Vous voyez, il y a de l’espoir…
Cela
vaut le coup d’essayer, en vous gardant toutefois un dernier mouchoir – pour dire adieu à vos allergies !
Communiqué
de sante.doctissimo.fr :
La vitamine
C, un antihistaminique naturel : (par Lucile, le 13 mars 2009)
La vitamine
C serait un antihistaminique naturel efficace, selon plusieurs études scientifiques. Par ailleurs, ce rôle antihistaminique expliquerait que des niveaux faibles de vitamine C sont fortement associés aux allergies et à l’asthme.
Une étude
de 1990 a montré l’efficacité de la vitamine C (acide ascorbique) prise par voie intranasale. Cela a été démontré par une expérience sur 48 sujets en crise allergique, qui ont reçu une solution d’acide ascorbique ou un placebo en pulvérisation nasale trois fois par jour. Après deux semaines, les sécrétions et l’obstruction nasales ainsi que l’œdème ont été diminués chez 74 % des sujets traités avec la solution d’acide ascorbique, contre 24 % seulement des sujets sous placebo. La vitamine C diminue donc les réactions
allergiques.
Mon avis : (C.M.)
L'alimentation Zen macrobiotique peut fortement diminuer, voir totalement faire disparaître les symptômes
allergiques.
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